Charrier sa bidoche à dache hors du patelin, ça fout toujours un poil des frissons : une limite qu’on s’est montée dans le bourrichon, dessinée par une lourde en sapin, c’est tout c’qui faut pour tout foutre en l’air, et même le décor : c’est kif-kif quand on s’remplit les éponges, on joue du compas sur le même plancher, mais le trimard n’a plus la même trogne, le charibotage sur les cymbales des antifs est chanstiqué, les tôles de lartonniers n’ont plus tout à fait la gueule des trucs dont le blase était, y’a pas une plombe, tôles de lartonniers, les brichetons n’ont plus la même touche.