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Froncer une patère
Froncer une patère est toujours quelque pose d’un cheveu et vous ment : lis Minute, immatériel, marginalisé par une bière d’Arbois, sushi pour tout venger, et jusqu’aux paysannes j’aime : c’est le maire M., c’est l’amer thème, mais l’arête n’est plus tout à fait la moule, la granny des patauds fourriers change, les range-bilous ne ressemblent plus, tête à fou, à ce que nous appelions un Satan, un vent, l’ange Riboud, les profs n’ont plus la même main.
Jerk Projet, « Et ce cèpe se désape » (Algue élidée)