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Palindrome

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Autel I, ciel I » (Presse R) :

« Passer par ça — sa borne, l’avide état — a stimulé l’ému : ce corné
tiret, rêvé, imagé, matérialisé par une tige dure cerise (…) dégage l’inédit
or c’est un acre trop médusé : même layon essoré, même durée, sol et ces
nids à lettres, liés irisent en nos rues l’avatar nu, non reçu peut-être ;
mais ce sec si amer viennois ? Sa pâte ne livre sa mesure par delà cet état
élevé (...). »


Ève, l’état-été ça ? Le drapé rusé m’a servi, le net a passionné, ivre mais
ce sec si amer têtu ? Epucer ? Non ! un rat à valseur sonnet ne s’irise, il
sert tel as d’insecte. L’osée rude mémé rosse noya le même su : d’emporter
canut, (sec rôti déni !) le gage désire ce rude gîte nu râpé, si l’aire, ta
méga-mie verte, rit. En roc écumé, l’élu mit sa tatée diva, l’enroba, sacra,
pressa… Presser pile ici, le tua. (...). »

Ce texte essaie de paraphraser l’original en formant la première partie d’un palindrome, dont la deuxième essaie d’avoir un rapport avec le titre, et d’être une possible suite, plutôt surréaliste ici, de la première partie.