La maliette est aimable et peut offrir ses plumes
À toutes les caresses de nos douces paumes,
Ces caresses lui sont alors comme des baumes.
Mais les rudes humains, sangliers dans leurs bauges,
Auront beau se goinfrer de bourrache ou de sauges,
Leur peau comme leurs soies resteront toujours saures,
Leurs cœurs demeurent durs, et leurs esprits sauris
Sourds à ses cris légers de petite souris.