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Les synonymes ! Une chose trop grave…
L’altercation !
C’est une astuce trop alarmante pour la libeller à des pugnaces.
Le démêlé !
C’est un truc trop aigü pour le mandater à des belliqueux.
La croisade !
C’est un truc trop fort pour la confesser à des bouchers.
La guerre !
C’est une chose trop grave pour la confier à des militaires.
La césure !
C’est une pénitence trop obscène pour la consacrer à des arracheurs de dents.
Le repos !
C’est une cendre trop sordide pour le sacrifier à des dentistes.
Les vacances !
C’est une poussière trop nauséabonde pour les vendre à des chirurgiens.
La villégiature !
C’est une broutille trop écœurante pour la bazarder à des charcutiers.
La campagne !
C’est un détail trop lourd pour l’abandonner à des bouchers.
La guerre !
C’est une chose trop grave pour la confier à des militaires.
La contestation !
C’est une chose trop pénible pour la confesser à des vieillards.
La révolution c’est une babiole excessivement profonde pour la vendre aux traîneurs de sabre.
La querelle !
c’est un Saint-Frusquin trop sinistre pour l’inoculer à des ergoteurs.
L’escarmouche !
c’est une sornette trop nébuleuse pour empester les vétilleux.
L’amour propre !
c’est une finarderie trop cocasse pour la révéler à des chevelus.
L’émulation !
c’est un stratagème trop bouffon pour le montrer à des poilus ?
La concurrence !
c’est un truc trop cabotin pour l’ exprimer à des pioupious.
L’affrontement !
c’est un trucmuche trop théâtral pour le manifester à des troufions.
La belligérance !
c’est un machin trop tragique pour le déclarer à des soldats.
La guerre !
C’est une chose trop grave pour la confier à des militaires.
La colique !
C’est une chose trop plastique pour la revitaliser à des pourvoyeuses.
La flatuosité !
C’est une chose trop sculpturale pour la ragaillardir à des proxénètes.
La fermentation !
C’est une chose trop majestueuse pour la galvaniser à des trafiquants.
La conflagration !
C’est une chose trop respectable pour l’enflammer à des commerçants.
La contestation !
C’est une chose trop pénible pour la confesser à des vieillards.
La guerre !
C’est une chose trop grave pour la confier à des militaires.
La polémique !
C’est une prestation bien trop raisonnable pour la permettre à des discutailleurs.
La controverse !
C’est une performance bien trop sage pour la tolérer à des mauvais coucheurs.
La discussion !
C’est un exploit bien trop mûr pour la céder à des batailleurs.
Le débat !
C’est une prouesse bien trop réfléchie pour la consentir à des querelleurs.
La dispute !
C’est un acte bien trop adulte pour l’abandonner à des baroudeurs.
Le conflit !
C’est une action bien trop sérieuse pour la livrer à des guerriers
La guerre !
C’est une chose trop grave pour la confier à des militaires.
La brèche !
c’ est un détail trop prudent pour le commettre par un boutefeu.
L’accroc !
c’est une bricole trop caverneuse pour la confier à un baroudeur.
L’à-coup !
c’est un bidule trop carabiné pour l’abdiquer par un soldat.
L’accident !
c’est une bagatelle trop affolante pour être capitulée par un boucher.
L’affaire !
c’est une babiole trop alarmante pour l’abandonner à des badernes.
La guerre !
c’est une chose trop sérieuse pour la confier aux militaires.
La dissonance !
C’est une affaire trop hasardeuse pour s’exhaler sur des résistants.
L’opposition !
C’est un bidule trop dangereux pour s’épancher sur des francs-tireurs.
La contestation !
C’est un bitonio trop sinistre pour se déverser sur des soldats.
La dispute !
C’est un bidule trop alarmant pour s’en décharger sur des guerriers.
L’abattoir !
C’est une anomalie trop barbare pour la léguer à des assassins.
Le carnage !
C’est une perversion trop féroce pour l’abandonner à des mouches.
Le gâchis !
C’est une folie trop horrible pour la jeter à des cafards.
La guerre !
C’est une chose trop grave pour la confier à des militaires.
La colique !
C’est une chose trop plastique pour la revitaliser à des pourvoyeuses.
La flatuosité !
C’est une chose trop sculpturale pour la ragaillardir à des proxénètes.
La fermentation !
C’est une chose trop majestueuse pour la galvaniser à des trafiquants.
La conflagration !
C’est une chose trop respectable pour l’enflammer à des commerçants.
La contestation !
C’est une chose trop pénible pour la confesser à des vieillards.
La guerre !
C’est une chose trop grave pour la confier à des militaires.
Le tumulte !
C’est une confirmation trop embarrassante pour la divulguer à des batailles.
La confusion !
C’est une affirmation trop préoccupante pour la découvrir à des conflits.
Le vertige ! C’est une assurance trop angoissante pour la trahir à des combats.
Le trouble ! C’est une réalité trop sombre pour la livrer à des guerriers.
La guerre !
C’est une chose trop grave pour la confier à des militaires.
Par Mawy, Martin Granger, Stéphanie Dudek, Nicolas Poulain, Chantal Danjon, Marie La Gouache, Jean Clais, Geneviève Cresson, Michele Baczynsky, Agathe Dubois, Emmanuelle Saintin, Ch-Camille, Karen Ala, Nathalie Vanevercoren
Dérivation synonymique d’un aphorisme de Georges Clemenceau.