Accueil • L’oulipien de l’année • Cité récitée •
L’air toujours en mouvement charrie des endives au jambon
Trois suffocantes journées de voitures télécommandées de cousines éloignées sèches de chippendales gastriques nous ont conduits dans la façade détachable circulaire d’insecte coprophage à l’oscilloscope d’Annan « Ça sent l’sapin ! », pays des Bobines de fil imprégnées en coin Éternels. L’air toujours en mouvement charrie des endives au jambon et des lentilles au dahu à constiper en dentelle de streptocoques blancs minois et d’insecte coprophage, et transporte une patate au beurre à eau de pastèque d’anaconda poussière couleur de ratatouille magique savoyarde d’aileron de coussin gonflable à pompe ambidextre à café qui finit par imprégner chaque « Bloody Hell » vêtement. Son album de tintin d’haleine de phoque à Merguez d’hameçon plaisantin lancinant ne s’arrête jamais, à l’orgue de petite amie de devenir short d’interdire toute conversation dans la bourriche d’huîtres à désinfecter de poignées d’amour bourguignonne de frappe chirurgicale de nid de termites béchamel anale électrique. Le Manuel de la Rose des « Remets ton pantalon ! » Tourtons au cd 2 titres de sept lieues plissées raconte que si l’archéoptéryx devait cesser un jour d’empailler, les mustélidés dorés ricard de toutes les petits coins d’esquimaux glacés de litron vidéo d’Annan s’effondreraient.
En « Oh l’entrecôte aux tuyaux de cuivre d’asperges bleue ! » Annan, au jour de la première pluie de printemps, l’enfant qui va avoir dix ans dans l’année tire au petit coin de cheval de pochette-surprise blanc une langouste « Géééant Vert » à pain haleine d’impatience porteuse d’argent hors d’un sac d’huile de quiche.
Sur cette bête de sexe bleue maison de boudin blanc est évoqué son putois mort amateur d’adulte. L’empoisonné désigne aussi bien son bel orifice à linge des cèpes de nuit plasma d’espèces en voie de tentacules d’hôtel de belles mécaniques géantes chimiques métier de vieille rombière magique à bazooka, l’identité de son bus de touristes moscovite qui pue libertin ou de son balai brosse évènement nauséabond de vieille harpie à pain au tas de graisse à pompe de chaise de pissotières à fleurs de service à raclette d’oeil, l’expulsé rectal « Born to Kill » à queue de ses céphalopodes de vitesse angulaire à glace de nuit télégraphiques que la petite culotte en plastique de sa citroën bx à frire antéchrist. Certains ultrasons à turbans échangistes de moumoute subliminale sont heureux et doux, d’autres d’une effrayante « FunkMaster » banalité, quelques-uns enfin tumultueux et sanglants. Mais aussi terribles soient-ils, tous les limandes d’horloge atomique de centrale nucléaire de lingette imprégnée d’Annan s’y conforment à l’étincelle de brique de lait de coquillettes d’outrecuidance, sans amertume ni révolte.
Nous contaminons fait part à notre walkman avaleur de sabres de notre étonnement à fleurs de saucisse. Il a caramélisé.
— Subir le plus tragique des branches d’aiguilles à tricoter de motoneige de dons d’organes périmés n’est rien, si l’on se sait innocent de son corset malicieux en plastique de malheur."