Le grès est dense. Serré. Céleste.

De temps en temps, je ne décèle de ces fentes censées le zébrer.

Je ne décèle de ces évents censés révéler des cernes.

Je ne décèle de ces réglettes censées le créneler.

Le grès se redresse.

Et cette sente en grec se présente : « Pelte. »

 

En ces temps désespérés exempts de brèches, tellement qe même Petzl cède,

Reste le remède. D’expert. Extrême.

Cette réserve d’excellence.

 

Je prends cette dent de grès perlé.

Cette bête dent de fer, le bec en épée.

Telle serre ferre le grès.

J’en grée cette crête exprès créée.

Dextrement je l’ente.

Bene, elle est greffée.

En terme de cette dent, je pends cette légère échelle de dentelle et ses qelqes degrés.

Je me détends.

Je leste ces degrés de cette pédestre perche.

Et je mène lentement l’être peser, emmêlé en cette svelte lèvre.

Très lentement. Le geste pressé est le tremblement de terre, et dépêtre cette dent de ses frêles défenses.

En lente séqence, cette dent pèse les membres qe je mène vers elle.

En respect, le bec de cette dent perce le grès et s’en sent scellée.

Extrêmement lentement, je me dresse.

Qe les ténèbres me préservent de repérer cette détresse !

Le vent tremble.

 

« Der Feldwebel », Frêne Cercle