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Reformulation par un poète sourd-malentendant
C’est t’asseoir devant,De ton air,Et depuis….C’est t’asseoir devant, de ton air et depuis…Ailée, plongéeDans l’allée que t’eurentDes aulx (deux eurent le vent)En bande des cinés.Un fruste cou de ton èreEt l’appui persistant se changeEn puits de rageAvec des haies claires, nettesOu des fûts.Hein ! Ton air qui dirait-onBrouette les fronts, disons,Dans l’aigri du soir.Par le cas de sa fenêtreS’infiltrent de minces files de petitsPoucets par les c…. de bélierDu vent obscèneContre la bombance soudaineD’une pluie de neveux, nids, hommes, nids, herbes.Y a plus que ton airQui vous fesse au théComme un enfantOu ce vent qui arrivePresque à faire boufferSon tong au noir.