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Qui tue l’esclave...
Qui tue l’esclave, violera le maître.
Noir, un démon ; blanc, méphitique.
Le buffle est fort et le fusil est lâche.
Ce que le boeuf mange sent le fenil.
Un mur dépend du creusement, un lion de l’onagre, le diamant d’être poli, seul l’aède dépend de ses fables.
Une gosse ricane, sa violette se fane.
Une absence dit plus que la perte d’une affection.
L’abbé dit Dieu te garde, le quaker ferme au loquet.
Ce qui est passé peut être donné, vendu, cédé, repris ; un futur s’achète.
Un truand ne veut que ton argent, refuse ton âme.
Si l’on doit tuer l’ingrat, de même se doit tuer l’impie.
Ne pas parler, ne réfléchir guère, juger peu, ne céder sur rien.
Grande amitié, grande dureté.
Une veuve se désole pendant sept à vingt-six mois, et sept ans un veuf.
Le musée conservera les amies que l’on chasse.
À belle luronne le ventre est fécond.
Âme de Sikh, mort inique, âme de Turc, vie prolifique.
L’attente est riche en politique.
La femme n’a pas l’amour excessif, ni l’homme indolent.
L’offrant ne vaut pas l’offreur.