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Quatrine en ville
L’autobus s’envole vers les alouettes
Il s’inspire de notre imaginaire
Plus d’épines sur les roses
L’océan est balayé par le phare
Phare éternel concurrence les étoiles
Les alouettes n’ont pas de miroir
Rose est le ciel de l’aube
L’imaginaire fait le reste
Plus rien n’arrête l’imaginaire
Grand Place c’est le phare
À Lille on voit tout en rose
Faut pas prendre les perdrix pour les alouettes
Les alouettes, les pigeons, les étourneaux
L’imaginaire s’égare dans le ciel
Roses sont les sentiments devant
Le phare qu’est St Maurice sur son parvis