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Les desseins du raifort
Les desseins du raifort —
Vantez ce bourricot à visée ahurie.
Nous quittions l’estimé benêt quand nous offrit
La laitière un grand coeur, comme une centurie
De soldats épuisés, et dans l’état d’esprit
D’un lointain descendant de la vierge furie
D’Orléans, dessinant des anges dont on rit.
Ce flamand gode anal fut la mise mûrie
D’un Breton dévêtu quand sa chanson reprit.
Le plomb chinois létal peut-être on glorifie.
Des squelette et disette encore on se méfie
Quand les fonds transformés ont perdu le motif
Gauche des cumulus, déchiffrant la graphie
Des lettres d’un Germain, décent ciseau chétif
Effaçant tout gambiste en sa blême atrophie.
Ce sonnet aux rimes en -i est a traduction du texte suivant, qui modifie une et une seule lettre de chaque mot du poème de Caradec :
Cranson (ses vues) —
Prônez âne, vue du hagard.
On sortait du cher sot : ma crémière eut sa bonté
de l’ost las en Effel (né d’Arc).
Le plug belge y parie : pst ! celte nu, oh fredonna.
Doutes des tués aiment Xinsi,
os et faim, les re-crains où or change, sans ces vues
tortes des nues, lisent Merck.
Merck, l’ovoir chaste, ta viole disparut.