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Le soir du prisonnier
voici un soir où va sévir un norois, associé au courroux associé à zeus, mais aussi à une nuée nourrie.
saisie, une nana vise ces acmés au crienorois en roman orné.
zeus envoie un sec carreau, mue ma nuée nourrie en averse sévère, avec raies acérées ou émoussées, mais aussi une rumeur, venue sans erreur marave nos cimes sous ces cieux mornes en soirée.
aux croisées s’immisce, se sauve une mince soie en eau : « ce norois me rosse, car ne va me recevoir ni mec, ni renouée, » ni ce courroux - crac, vous remuez en môme - ou ce norois assassin - serré au cou, meurs sans un son, sans maracas, vieux soir.
enrico mazé