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Le parti pris des rues
À mi-chemin de la roue à la ruse la langue française a la rue. Ce n’est pas un effet de l’art.
En des temps disparus, nombre de coins de rues aboutissaient aux halles. On y fredonnait naguère. Des chansons gaies, des chansons tristes, des chansons d’amour et des chansons à boire.
Les ritournelles avaient pris le parti des rues.