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La passion l’égarait

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C’est nul ; archi-nul ! L’histoire rocambolesque nous emmène vers une noyade improbable qui manque de profondeur !

« La passion l’égarait, et de colère fou,
Sur le sein de l’épouse il écrasa l’époux. »
Elle était désormais veuve. Le meurtrier sortit pour effacer le sans dont il était couvert puis rentra dans la pièce. Quand il vit le lit vide, il le devint. Finissant par découvrir la malheureuse, il l’attira brutalement à lui. Elle poussa un cri d’horreur : ses mains étaient froides comme celles d’un serpent.
« Ah !Ah ! » s’écria-t-il en javanais, car il ne connaissait que cette langue. S’emparant de la pauvre fille qui poussait des cris déchirants, il ne savait que faire. Puis, avec un rire sardonique, il la précipita au fond du puits en disant : « Ici se trouve ta vérité. » On entendait au loin les rafales de la FLAK.

Exercice voisin de la textée : Aimé devait rédiger un texte en se basant sur le commentaire initial transmis par Rodolphe.