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En perles de nez
Le vent délétère se lève, prétexte d’entendre ses nerfs en effervescence ! D’emblée elle se lèche les lèvres d’excellence, excède l’encre des lettres éphémères en verbes germés et détecte les secrets de l’espèce. Elle jette les dés, démêle le sel de l’être et serre le vent. Perchée elle célèbre le temps, ce désert très sec ; le nez défenestré elle se jette en renverse et pénètre l’herbe détrempée : elle est blessée. Elle perle vergetée ! En détresse elle désespère. Elle rêve de l’éphèbe dégelé, l’éden de ses enfers pervers, et elle enfle le cercle échevelé de ses encens, cendre de ses effets. Elle crève de remettre ce temps en fenêtre de vent déréglé : penser le nez en repère de sens décentre l’être.
Herbert Metthews, « Sexe de vent »