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Diomira baobab
Direction : l’orient par un mini rallye. Le dissident oblique vers une minable rampe, celle de de Diomira. Digne, avec ses obélisques mirifiques, ses rares divinités d’obsidienne, de minuscules ravines, d’inimitables orphéons, des minarets, le ramage de dix ortolans : mille ravissements , pour le dissident, ordinaires et non miraculeux, sauf, dit-on, à l’occasion de la mi-septembre, quand irradient les diurnes ombres et qu’une miss râle ,
obsédante et mielleuse paramnésie !
D’Italie on mime une rhapsodie.