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De celles qui restent
De celles qui restent —
A Paris, qu’on chante chez soi des refrains, ce n’est pas de l’art, en effet, on fredonne au hasard. Merci la ville ! D’un merci, toutes les rues riment, toutes les rues disent : en sortant, prenez la bonne, la plus belle est celle disparue, la première ! Ainsi on fait dans les rues, qu’une rue est.