Le billet de cent francs qu’on retrouve dix ans et un jour après le passage à l’euro.
Les excuses d’un hypocrite.
La carte d’abonnement à l’UGC qu’on sort de son portefeuille un samedi alors qu’elle n’est valable qu’en semaine.
Une salle d’attente sans rien à lire.
Les soldes du magasin de vêtements qui a pris soin d’augmenter ses prix la veille.
Les romans sentimentaux des années 80 qui traînent dans la boîte à livres à côté de l’église des Bois-Blancs.
L’injection de placebo lorsqu’elle accompagnée d’un commentaire rassurant : ne craignez rien, c’est une injection de placebo !