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Certains soûlards devant deux thons…
Certains soûlards devant deux thons nés raies déplient ailes et plomb.
J’ai, dans l’allée que tu raies, des odes de hures levant, en banc de
cinés, un bruit qui coude ton air. Elle lape, puis perd six tantes. Ces
chants, emplis d’or, ragent avec des Z claironnés, tous diffusés. Un
thon est requis dix raies. Ton fou est tel les fronts des ondes dans les
griffes du square. Parle ! Car, de deça feue l’être sain, filtrent des
mains, se filent deux puits. Pour ces parts : les cous de belles liées.
Quel vent assez nœud, con, très las, bon, danse sous des nez de dunes ?
Puis quel neveu, mi homme mi herbe, Pape Luc ,Letton, erre, qui voue fêtes
aux terreaux communs. En faon où sève en qui l’art rie presque.
Ah ! s’étouffait le con du square !