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Un mot sur deux, (mais les impairs cette fois)
Avoir une colique est en quelque sorte de nature peu sérieuse : une maladie
imaginaire. Obstrué par cette barrière, je bois (...), exagérément, pour me
changer complètement, jusqu’au soulier même : on est quand même propre !
Cela enrichit la bonne terre, quand la tripe n’arrive plus totalement à
contenir la pression. La disgrâce des pauvres routiers malades les
bouleverse : ne pouvoir plus aller à reculons à ce que nous appelions une «
instant-flood-boulangerie » : quelques pains y ont pris la scatologique
forme (…)