Accueil • Z’écritoires • En sortant des ateliers •
Sarkozy de Clèves
Je pense mes chers deux ans, à tout le reste du monde, avec l’inconsolable mort, la retraite austère, les jalousies que rendent si mal mille reproches. Oui, je pense à la bonne heure cause de son lit, de la comédie, de l’imprudence qui carosse la brouillerie du Roi vers leurs confidences.
C’est tout d’un coup, où, en effet, excuser, quoique du plus agréable péril que sa solitude se donne sans même lui en hasarder. C’est dans ces pensées violentes que la douleur est borne, que la raison ne mérite leur infidélité morte.
Car nos paroles , ce sont les lits véritables des temps indifférents.
Les princes se sont les sentiments qu’elle devait y répondre qui trouve à chacun quelque doute de laisser raisonnablement ce que vous trouvez publiquement de tous les autres.
Les dauphines, il s’en faisait aimer que l’innocence ne cherche pas où il point. La paix , c’est la magnificence entre les ballets et les divertissements.
Hybridation d’un discours de N. Sarkozy et d’un extrait de La Princesse de Clèves.