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S’asphaltant dans l’anthrax pas blanc

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S’asphaltant dans l’anthrax pas blanc

L’attachant gars passa la rambla, ahanant, s’allant calmant. Avant ça, marchant pas à pas, sa baraka l’alarma : à Manhattan, la cata s’abattra par hasard ! Car sans grand trac, l’anar lascar s’avança franc, scandant l’astral mantra : « La saga n’a pas d’avant-plan sans amant la matant, car l’art n’a pas d’avatar dans l’apparat flagrant. » Antan lançant par là-bas l’abracadabrant pal blanc, l’actant chançard s’acclama. Ah ! là, pas d’accaparant bavard parlant mal d’alarmants trams fatals, pas d’aggravant crash par tracas d’agaçants passants sans flash.


La seule voyelle autorisée est celle que Rimbaud juge noire.