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Rues de Paris et d’Albert
Post-scriptum — « Rien n’est charmant, à mon sens, comme cette façon de voyager. - À pied ! - On s’appartient, on est libre, on est joyeux ; on est tout entier et sans partage aux incidents de la route, à la ferme où l’on déjeune, à l’arbre où l’on s’abrite... On part, on s’arrête, on repart ; rien ne gêne, rien ne retient. On va et on rêve devant soi. La marche berce la rêverie... »
Victor Hugo, le Rhin.