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Quel pot ! Quel Pô ! Quel poème !
Primo Bottardi a toujours vécu sur les rives du Pô. A cinquante
ans, il se souvient d’une question que lui avait posé Civolini,
un camarade de classe. Là, toute affaire cessante,il sent qu’il
faut qu’il traverse la terre piémontaise, d’aval en amont, con-
vaincu que celui qui pense posséder une clairvoyance s’obligera
en suivant la rive et le fleuve alors lui apportera la réponse.
Un beau roman qui nous embarque comme le courant d’une rivière.
ans, il se souvient d’une question que lui avait posé Civolini,
un camarade de classe. Là, toute affaire cessante,il sent qu’il
faut qu’il traverse la terre piémontaise, d’aval en amont, con-
vaincu que celui qui pense posséder une clairvoyance s’obligera
en suivant la rive et le fleuve alors lui apportera la réponse.
Un beau roman qui nous embarque comme le courant d’une rivière.
Dario Franceschini, Dans les veines ce fleuve d’argent (L’Arpenteur, 2008) –
Cf. cette chronique de Jean-Luc Doutrelant.