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Prisonnière de la nuit
ô noirceur
si se consume assis, ne va à vue
mais va au cœur au cerveau
à nous encre sans aucun cirrus
aux nues un amas cuivré
avec son sourire sa nounou sa caresse
rosée aux rosiers
mais on s’aère
vacances
mer non mue
mais nuées comme vision sans mesure
aucun n’a cru s’insinuer aux vicinaux en course
aurores aussi numérées
ô voir une nova
ourse incinérée mais vive
à croire nonce nouveau
immense amas, source inconnue
créés, recréés...