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Oscarinterview
— Cher Oscar, vos impressions à chaud, encore un beau succès ?
— Nous sommes satisfaits du résultat.
— Comment avez-vous vécu cette magnifique célébration, vous avez été fêtés en héros, pas moins ?
— On est toujours content, bien sûr, ça fait chaud au cœur mais il faut rester vigilant et continuer à travailler.
— Et vos supporters ?
— Toujours sympas, avec nous, un soutien sans faille. Ils nous chambrent un peu sur les chocoprinces – c’est le surnom qu’on donne à nos compléments alimentaires, c’est notre sponsor- mais ça va !
— Dans la première phase, quel était votre état d’esprit ?
— Nous étions sereins, on avait beaucoup travaillé et répété les combinaisons à l’entraînement. On a insisté sur la catapulte, on a pulvérisé les statistiques, c’est toujours bon pour la confiance, on sentait qu’il allait se passer quelque chose
— Pas de problèmes donc pendant la préparation ?
— Le groupe a bien vécu, bon l’avantage c’est qu’on est que deux, on se connaît bien et il a juste fallu annoncer à Simon que je prenais le capitanat mais ça a été, l’état d’esprit est sain.
— C’était un peu attaque-défense au début, vous n’avez pas douté ?
— Non. On a serré les dents ou les coudes, je sais plus, vous savez dans le feu de l’action… on est resté solidaires, bien compacts.
— En effet, et l’adversaire s’est mis à douter ?
— Oui, on savait que les dix premières minutes seraient importantes, c’était notre plan, il fallait tenir, commencer à les faire douter. Et on a pu sortir de notre camp et tirer.
— Vous n’avez pas eu peur que ça tourne mal quand Simon a été touché ?
— Oui, un peu l’inquiétude à ce moment-là mais les kinés ont fait du bon boulot, faut dire qu’on a un super staff, et il est reparti à fond, il leur a même porté l’estocade. On les a étouffés physiquement.
— Vous n’avez pas eu peur qu’ils recollent ?
— Non, on était très bien, et même si on sait que ça peut aller très vite dans l’autre sens, j’ai pu feinter leur remplaçant, quand ils jouaient leur va-tout ils l’ont fait rentrer, leur fameux Dragon mais il a pas existé.
— Et puis la délivrance, la victoire.
— C’était pas gagné d’avance mais on l’a fait. On a réalisé ce qu’on avait mis en place, ce qu’on avait prévu et c’est une belle satisfaction, même si ce n’est qu’une étape.
— Merci Oscar, pour conclure un dernier message à vos supporters ?
— Alors : les Chocoprinces fraise oui, les vanille, non ! Ils comprendront.