(– La nuit...) Tout objet qui peut aller au feu, vous le ferez passer par le feu.
La lumière se lèvera sur l’obscurité, Et les ténèbres seront comme le midi.
Et maintenant pourquoi mourrions-nous ? Car ce grand feu nous dévorera.
(Ce soir, regardez), les nuages, Il les disperse étincelants (pour nous) !
Dieu a fait (un) plus petit luminaire pour présider à la nuit ; il a fait aussi les étoiles.
Au-dessus de (nos) têtes, il y avait comme un ciel de froid cristal resplendissant, qui s’étendait sur (nos) têtes dans le haut.
(On) respirait alors plus à l’aise et se trouvait soulagé.
Voici le repos, Laissez reposer celui qui est fatigué ; Voici le lieu du repos !
(C’est vrai) La mer a disparu.
(Mais) Dieu, a fait (…) une immensité pareille aux étoiles des cieux.
Louez-le dans l’étendue, où éclate sa puissance !
Regarde vers le ciel, et compte les étoiles, si tu peux les compter.
Eh quoi ! En un instant les voilà détruit(e)s ! (Elles) sont enlevé(e)s, anéanti(e)s par une fin soudaine !