Accueil • Z’écritoires • En sortant des ateliers •
Le Tour du Monde caviardé
Attirer quelques jambes dans ces yeux
La nudité est capitale
Se dresser pour construire une femme superbe
Dis-huit vastes jardins
Cent-cinquante mille pauvres déserts
Des Anglais énormes dans un corps hideux
On manque de gloire
Courtisan des adieux d’hiver
Sa tête tente de classer une rangée de voyageurs magnifiques
Peuvent sous les montagnes
Entrée immédiatement
S’enfonce jusqu’à l’extrémité d’élégants déserts
Les chants errants exténués
Femme enfants marquable
Bœuf maudit des forêts
Cette légende
Ces peuples commes les autres
Suivre ce point
Le quatorzième ou quinzième
Étendue, contempler
De tous côtés
Tout ce qui m’entoure
C’est un édifice
Nous voulons voir le lendemain
En explorer les merveilles
Le lendemain
Pour tous
Leur nom signifie « Fils de rois »
Chaque tribu se divise en clans
Entouré de courtisans en pleurs
Le prince prit le vase d’une main ferme
Leur seule profession est celle des armes
C’est un culte
Le jeune est reçu dans la société des hommes
Le Rajpout est très friand de la chair du sanglier
Les turbans des Rajpouts sont toujours coquets
Les femmes rajpoutes sont grandes, bien faites et quelquefois très belles
Mais elles jouent un rôle très important dans la vie publique
Ce matin qui refuse de se mettre en route après le lever du soleil
Le jeune se joint
Nous quittons le camp
Notre troupe est devenue cependant assez imposante
Il guette alors silencieusement sur le chemin
Les défilés se resserrent
Le paysage est d’une beauté sauvage et grandiose
Le jeune chevauche à côté de moi
Les Hindous prétendent que le tigre a goûté une fois de la chair de l’homme
L’explication la plus simple de ces deux hypothèses est celle-ci :
Lorsque le tigre vieillit, de distance en distance, la silhouette d’un Bhîl se détache
L’une des vallées que nous traversons
Ce sont des temples à tours élancées couvertes de sculptures
Au moment de notre passage, quelques bardes seuls habitaient cette oasis
Un paradis ou un désert ?
Le soir
Presque desséchée
Nous quittons Raypour obscure
Nos chameaux avancent
Les voyageurs ces pauvres gens
Escorter les caravanes
Doubler la marche
L’aube nous retrouve
Les arbres de petites forêts
La montagne
Notre escorte
22 décembre
Nous entrons dans le froid
Enveloppés creusés par les pluies inaccessibles
Terre
Arrêtons-nous
Lianes rieuses riant
Mais jadis menaçante
C’était avant ce jour
Puissance
Les emblèmes de bambou
Traités accessibles,
Marchands à combattre
Au centre, luttes intestines guettent bestiaux
Ils reconnaissent communiquer signaux nubiles
Barbouillées doivent beaucoup tirer de leur barbarie
Immondes formes
Important mélange
Aucune race