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La peine dure au Harar
C’est partout le noir ; que je me vive au flux héritier, à cette morte excessive. Valeureusement, mes bateaux ne furent vénérablement pas plus que grèves hirsutes, crêpe et soie, blêmes grecques rotondes.
En germes de radeaux – ah ! que de vie ! hé ?- leurs « purs iodes » font emprises, autres belles du Sodium – ah ! (ô retorses rotondes !) - et des rades, l’homme sait, roi hirsute. Fou, je déplais avec avidité, homme, essaim de la nuit. Sûr ? Un pitre ! Et ô tant triste flèche aux veuves semelles affolées, homme des cendres et mers ! Le flux ou vent. Désamouré, je me décaresse de ces concrétions trop livides et je lance, à l’autre, rose. Forte voix, je m’accroche, je m’arroche, je m’écorce de les remarier et j’ustensile les mépris d’un radeau en peine – délit fait sens – pour en abriter craintivement un hôte, qui ne brûlera, veilleur, pas – flux montant.
VL, La peine dure au Harar