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De l’élevage séricicole
Le ver à l’ego démesuré tête la sève du Murex.
On utilise la bave de cet animal (on ne dira pas ici "fèces").
A sec, on a ce fil étiré, de la pure séricine
[1], si fine, si solide !
Sa filature sera facile, la police la juge légale.
Côté sexe, le père ver ose la rigidité de l’érotomane...
La désirade s’élève si le métamère se recule :
rêve-le, lever ici révèle le ver !
(avec une dose de culot, à relire :
révélé, le ver ici rêve l’élever !)
[1] nota bene : selon un érudit, aluminosilicate peroxygéné