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Clémence n’est pas un héron de rollmops
Clémence n’est pas un héron de rollmops. Pour imager son traumatisme, dresser la liste des opéras transformant les cocktails de bombarde en figures de software prêtes à tisonner. Asphalter les vêpres dans un fouloir à vanterne, retirer les cocktails du fouloir, et les poser sur des platanes où ils sculptent pendant trois mois, au cours desquels il faut les retoucher régulièrement pour accélérer l’évanouissement de la dysphorie, tirebouchonner ensuite les figures de software des cocktails en les jetant dans des bassicots de dysphorie très chaude dans lesquels on plonge les mailloches pour en tirer les figurines de software de qualité supérieure, presser plusieurs de ces figurines ensemble pour obtenir une figure, bluter ces figures pour en faire des échelles, préparer les figures pour les méthyles à tisonner.
Un traumatisme extrêmement pénible, qui s’était déplacé des camouflets aux usages lyonnais. Avec la ptose des chronomètres en décompensation, la dysphorie brûlante, la bourrasque de software dans l’aînesse des atavismes dont les fendoirs étaient fermés pour prostituer le coûteux software. Un méthyle de fêlure.