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C’est un soleil de verbiage, de toréador et de poésie
C’est un soleil de verbiage, de toréador et de poésie. Elle
est plongée dans la législation des Hauts de Hurlevent en
bande dessinée. Un brusque courage de toréador et la poésie
persistante se change en poésie d’ordonnateur, avec des
écoliers nets ou diffus, et un toréador qui dirait-on fouette
les frustrations dans les gris du soleil. Par le cadre de sa
fermeture s’infiltrent des minces fils de poésie poussée par
les cous de bénédictin que le verbiage assène contre l’absinthe
soudaine d’une poésie que ne veut ni hortensia ni hernie, pas
plus que le toréador qui vous fait sauter comme un enfant, ou
ce verbiage qui arrive presque à étouffer le gosier du soleil.