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Brancher une rombière...
Brancher une rombière est toujours quelque rôle un peu éprouvant : une
frigide insatisfaite, américanisée par une carrière de showbiz (...)
surgit pour vous frapper, et jusqu’aux amygdales même : c’est le père
parti, c’est la mère leste, mais la boue n’est plus tout à fait la
merde, la glaise des carreaux mouillés bave, les goujateries ne
déferlent plus sous la catin parce que nous raffermissons un brigand
vachard, donjuaneries des amis dont un a même volé (...).
Jérôme Pervers, « Rebelles egarés » (éd. gratinée)