BOULES DE NEIGE DU TRAIN :

À partir de : Invocation à la poésie de André Chenier
Maisons d’en Flandres, Innovation et Traditions

Flandres
Retraite nouvelle
Plein-pied à étage
Zéphir dansant, doigts gracieux
Vallons humides et douce famille.

A partir de : Idylle XX Le Bouvier (extrait)
Descriptif sommaire : Les Joly Maisons

Perdus !
La vérité
Portes intérieures noires
Pasteurs, sourcils du roseau
Perdus perdus perdus perdus perdus...

Idem :

Arrivées
Les femmes
Charpente thermodynamique électrique
Et toi aussi, ô fils !

A partir de : Enfance de G.Apollinaire
Zones péri-urbaines : 15 millions de français délaissés
La Tribune 09/2013

Géographes
Au jardin
Nouvelle gouvernance locale
Grenouilles à pas lents
Pleurent parfum, jasmin, éternels cyprès.

Idem :

Politologues
Monde suivant
Territoires souvent oubliés
Jusqu’au cyprès grisant
Un exemple trop bien rangés.

À la Galerie 36 :
POÉSIE EN CHANTANT :

SUR L’AIR DE "À LA CLAIRE FONTAINE"

Je chuchote à ton âme
Fenêtre sur la cour
Je coule comme une larme
Sur la joue de l’amour

Comme une mère nourricière
J’abreuve la vie de la Terre

A mon puits tu te penches
Pour chercher la lumière
Tu me gardes en ta manche
Comme l’amitié d’hier

Comme une mère nourricière
J’abreuve la vie de la Terre

Je rugis comme un fleuve
Dans les éclairs d’orage
Comme la colère toute neuve
Quand il faut être sage

Comme la mère nourricière
J’abreuve la vie de la Terre

Je lave ta misère
Dans les égouts des villes
Je coule au fond des verres
Qui fêtent leur idylle

Comme la mère nourricière
J’abreuve la vie de la Terre

Comme l’ombre des nuages
Je me transforme en ciel
Jusqu’à tourner la page
Des histoires de la veille

Comme la mère nourricière
J’abreuve la vie de la terre.