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Hog & tog
Les formes hog (haïku oulipien généralisé) et tog (tanka oulipien généralisé) ont été définies par Jacques Roubaud.
Un hog est un poème de r vers de p ou q syllabes totalisant s syllabes, tel que p, q, r et s soient des nombres premiers (c’est-à-dire des entiers positifs divisibles seulement par 1 et par eux-mêmes).
Un tog est un hog dont les t premiers vers constituent eux-mêmes un hog, où t est aussi premier.
Exemple de poème employant des togs successifs : la Chanson de rupture de Frédéric Forte.
Un hypertog est un hog dont la troncation à ses t premiers vers est systématiquement un hog, quel que soit le nombre t premier impair.
Un métatog est un hog dont la troncation à ses t premiers vers totalise systématiquement un nombre premier de syllabes, quel que soit le nombre t impair.
Dans un dichotog, non seulement les syllabes sont agencées par dichotomie (voir ici), mais un nombre impair de vers consécutifs totalise toujours un nombre premier de syllabes.