On dit que j’suis colonel, et Simon sergent-chef. Les zotres, ils sont plus de trois mille. Le bordj est sous le feu et on réplique depuis nos trébuchets et un moment donné Simon est blessé et il tombe et se relève puis on fonce sur eux équipés de nos épées. Et d’un coup Christophe Dettinger tente de nous disperser, et je me pisse dessus, ensuite de derrière mon bouclier je dégoupille une GLI-F4, je le vise et je le vois qui s’écroule, et le préfet est fier de nous et les zotorités sont contentes. C’est l’heure du goûter, j’espère qu’il reste des Chocoprinces, et qu’on touche notre prime de risques en temps et en heure.