Accueil L’oulipien de l’année Chanson des rues
Jeu de la rue

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Merci d’avoir chanté la ville disparue, dit l’homme, un homme âgé dont d’informes habits sont unis au ciment gris du long mur gris et long.
Tu vas comme ça, roi sortant d’un manoir nu, chanteur ingénu soulevant l’écu dormant.
Et riant, noir, mauvais : Ne dis ma rue ! dit l’homme, un homme âgé. Mort. Informes habits.


Jeu de la vie à partir des voyelles successives du dernier vers du texte source :
merci d’avoir chanté la ville disparue
eiaoiaeaieiaue
ioeuoeaeoioeai
ouiauieiuouieo
uaoeaoioauaoiu
aeuieuoueaeuoa
eiaoiauaieiaue
ioeuoeaeoioeai